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Educateur spécialisé

Educateur spécialisé
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20 juin 2014

petite conclusion de mon stage

J'ai pu apprendre beaucoup de chose durant mon stage, et faire des liens entre la théorie et la pratique.
Il faut nous lâcher, car c'est un métier qu'il faut avoir dans la peau. Faire preuve d'empathie envers chaque personne qui vous entoure. Etre original et innovant. Il ne faut pas rester sur nos acquis, c’est un métier en constante évolution. Il faut surtout séparer vie privée et la vie professionnelle. Le plus important pour moi c’est ce remettre en question car on ne sait pas avancer.

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20 juin 2014

Pourquoi ce public de stage

J'ai choisi de réaliser mon stage avec des personnes handicapées car je veux toucher à chaque secteur durant mes trois ans d'étude. Au début j'avais un peu peur de faire ce stage avec ce public-là, c'est pour cela que je l'ai réalisé en première année. Mais mon opinion à vite changé durant mon stage. C'est un peu grâce à l'équipe qui nous met vraiment en confiance qui m'a permis d'avancer sans crainte. Mais sens toucher à différents secteur c'est difficiles de dire si on apprécie de travailler avec telle ou telle population.

20 juin 2014

TICE

Le sigle T.I.C.E  est l'acronyme de technologies de l’information et de la communication pour l’enseignement, ils recouvrent les outils et produits numériques pouvant être utilisés dans le cadre de l'éducation et de l’enseignement.

Activités de TICE : J’ai choisis le photo langage car cela permet aux bénéficiaires de s’exprimer sur des choses qu’ils apprécient et veulent faire partager aux autres.

C'est un bon moyen de crée du contact entre les bénéficiaires et l'équipe éducative.

18 juin 2014

comment réagir face à une situation

Je me pose une question, sur comment réagir face à un bénéficiaire qui étrangle un autre bénéficiaire ou un membre de l'équipe. Dois-je simplement lui parler pour qu'il arrête ou dois-je (le frapper) pour qu'il arrête si par la parole cela ne fonctionne pas.

Je n'ai jamais étais confronté à ce genre de situation mais c'est une question que je me pose souvant.

Si vous avez des conseils à me donner merci.

18 juin 2014

une de mes activités: parcourt psychomoteur

Titre de l'activité 1: Parcourt psychomoteur.

Individus concernés et pertinence: tout public. En ce qui concerne celle de ce jour, je la réaliserais avec des enfants de 6/7 ans, de première et deuxième primaire. Quatre groupes de 10 enfants et un de 6 enfants. Et trois bénéficiaires.  J'ai choisi de faire cette activité car sa permet de faire du sport tout en s’amusant et tout le monde s'aide pour faire cette activité.

Objectifs généraux:
-    respecter les consignes;
-    développer l'écoute;
-    respecter le matériel.

Objectifs opérationnels:
Les participants seront capables de faire le parcourt.

Intérêt de l'activité par rapport aux projets de l'institution :
Autonomie, contact social avec des personnes de l'extérieur: des enfants

Préparation de l'activité:
Demandé quel matériel de sport est disponible dans l'institution.

Description de l'activité avant:
Se mettre face à face pour les explications. Expliquer le parcours qu'ils doivent rampé en dessous de trois bancs, slalomé autour de trois cônes avec une crosse et une balle, sauter quatre fois au-dessus d'un banc avec l'aide des mains si possible en avançant pour ceux qui n'arrivent pas marché dessus en équilibre, courir jusqu'à l'étape suivante prendre deux balles de tennis et visé dans le seau, ensuite faire la brouette sur +/- 2mètres ensuite il change et pour terminer prendre le ballon de basket et mettre un panier. Se mettre par deux et le parcours et chronométré.
Les bénéficiaires remettent le matériel en place dès que chaque enfants et passé.

Actions des participants:
Faire le parcourt le plus vite possible.

Actions de l'éducateur:
Donner les consignes, aider pour faire le parcourt et chronométré.

Description de l'activité pendant: 
Expliquer à chaque groupe l'activité leur montré le parcourt comment il faut faire qu'ils doivent se mettre par deux et que le parcourt et chronométrer et je les suis pour les aidés en cas de difficultés.

 

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18 juin 2014

L'hortithérapie.

Voici une définition et des avantages sur l'hortithérapie une des activités que j'ai pratiqué pendant mon stage

L'hortithérapie.

Définition : Au sens très général, est un moyen de venir en aide à des personnes en difficultés physiques, intellectuelles ou psychologiques en utilisant l'horticulture comme méthode de travail.
L'hortithérapie n'est pas une psychothérapie, on n'y parle pas des problèmes intérieurs de la personne, mais une thérapie par l'action. L'objectif général de l'hortithérapie est d'amener la personne à se responsabiliser, à prendre en charge son chemin de croissance, à retrouver son autonomie, sa santé et sa dignité.

Habiletés développés ou stimulées par l'hortithérapie : contact avec la nature, exercice physique, perceptions du temps et des saisons, estime de soi, confiance en soi, fierté, autonomie, relaxation, développement d'habilités sociales et de communication, apprentissage de nouvelles connaissances, curiosité, concentration, créativité,...

Avantage : favorise la marche, maintien ou augmente la mémorisation, maintien ou augmentation de la notion de responsabilité, aide à la socialisation, maintien l'autonomie physique, la dextérité fine et aussi la coordination par les mouvements, permet l'exposition aux rayons du  soleil.

Quelques exemples significatifs :le jardinage et le contact avec la nature permettent de travailler :

La mémoire : par différents exercices sur les végétaux, on peut maintenir ou exercer la mémorisation.
L'attention : le jardinage est une activité qui « fascine » et qui suscite une attention involontaire et sans efforts. En cela elle est aussi une source de repos : on oublie, un temps, ses propres problèmes pour se focaliser sur ceux des plantes dont on s'occupe.
L'apprentissage : nombreux sont les savoirs, savoirs-être et savoirs-faire qui peuvent êre abordés à travers les activités de jardinage.

–    l'orientation spatio-temporelle,
–    projection dans le temps,
–    il aide à exercer la persévérance et la patience,
–    permettent aussi le travail des repères spatio-temporelle.
L'organisation : son matériel, son travail.
La créativité : la multiplication des végétaux.
Une activités stimulante et riche : il permet l'utilisation des 5 sens.
Une activité antistress : son environnement favorise la détente et la relaxation.
La motivation
La valorisation : les productions seront utilisées et utiles à tous, l'activité est une grande source de (re)valorisation.
L'expression : chez des personnes dont les moyens d'expressions peuvent être perturbés, l'horticulture peut permettre et favoriser l'expression des émotions, des sentiments.
Le contrôle de soi : certaines tâches permettront le défoulement et une certaine expression de la violence. D'autres, au contraire, nécessiteront d'être concentré, attentif et soigneux, obligeant ainsi les participants à se contrôler.

Activité généralement apprécier par les bénéficiaires. Qui m'a permit de voir le niveau de chacun et de pouvoir améliorer leur autonomie au niveau du travail.

13 juin 2014

voici un article de journal sur la discrimination de jeune de cité.

 

Discrimination : Grigny sur un CV, « c'est plus compliqué »

LE MONDE 17.01.2014 à 11h15 • Mis à jour le 17.01.2014 à 15h15 Par Sylvia Zappi

 

C'est une étiquette qui leur colle à la peau et qu'on leur renvoie sans cesse. Par des regards, des silences quand ils évoquent le lieu où ils vivent. Qu'ils cherchent un stage, un job d'été ou un emploi stable, habiter à Grigny (Essonne) relève pour beaucoup de ces jeunes d'un véritable handicap.

Insécurité, trafics, rodéos urbains, agressions, guerres de bandes… les clichés ne manquent pas pour évoquer cette banlieue pauvre de l'Essonne, où même des sociétés de transports refusent d'effectuer les livraisons. Depuis l'attaque du RER D, le 16 mars 2013, où plusieurs passagers ont été dévalisés par une bande de jeunes à la gare de Grigny-Centre, l'image de la ville s'est encore assombrie.

La stigmatisation qui touche les jeunes de la ville se sent à toutes les étapes de leur approche du monde du travail. Dans certains collèges, 60 % des élèves ne trouvent pas de stage en classe de 3e. A tel point que la mairie a demandé aux chefs d'établissement de ne pas les organiser tous le même mois afin de pouvoir accueillir les élèves sur le carreau. Aïcha Belkacem, élève en terminale professionnelle de commerce, raconte que, même lorsqu'on décroche un stage, les réflexions sont légion : « A l'Agora d'Evry ou la Croix blanche à Sainte-Geneviève-des-Bois, les responsables des boutiques nous cadraient tout de suite en disant : “Ici, on ne vole pas et on ne parle pas mal.” On était catalogué comme des voyous. »

 

CHANGEMENT DE LOOK ET DOMICILIATION À PARIS

Quand la jeune femme a cherché des jobs d'été, les portes se sont systématiquement fermées : « Grigny, ça me paraît trop loin. » Un prétexte, quand le centre commercial est à dix minutes en train. D'autres comme Footlocker répondaient qu'ils ne prenaient pas de mineurs. Aïcha travaille pourtant régulièrement pour cette enseigne mais aux Ulis, à une heure trente de trajet de chez elle : « Là-bas, ils m'ont fait confiance et je me suis donnée à fond. Alors ils me reprennent régulièrement. »

Pour trouver du travail, sa soeur a trouvé une autre parade : elle s'est inventé une adresse à Evry, une ville « plus bourgeoise ». S'inventer une adresse plus présentable pour éviter les sempiternelles tirades sur leur ville, ils le font presque tous. Ou changent de look. Cédric Kassambe, diplômé d'une école de commerce, porte des lunettes sans correction – « pour faire plus sérieux ». « J'en ai tellement ingurgité sur la réputation de la ville que maintenant je le prends à la rigolade et je me suis construit une image », témoigne ce jeune Noir de 25 ans qui s'est fait domicilier à Paris.

Marc, lui, est passé du côté des recruteurs. Cadre dans une grande banque, ce quasi-quadragénaire a tout vu avant de réussir à faire reconnaître ses compétences. En 2000, il avait même réalisé son petit test : recalé dans une candidature spontanée après avoir envoyé un CV où figurait son adresse à la Grande Borne – une cité HLM à la mauvaise réputation –, il avait récidivé deux mois plus tard après avoir déménagé à Ris-Orangis. « C'était le même CV, la même lettre de motivation et pourtant j'ai été embauché… Mais comment le prouver ? », S’interroge-t-il. Il encadre aujourd'hui les embauches, il veut diversifier les recrutements. « Mais le nom de Grigny, c'est plus compliqué à faire admettre. »

Philippe Rio, maire PCF de la ville, a décidé de contrer cette malédiction. Fin janvier, il lancera le « Réseau local », où Grignois ou anciens Grignois déjà insérés professionnellement ouvriront leurs carnets d'adresses, donneront des conseils pour aider les jeunes en recherche d'un stage ou d'un job. « Nous avons grandi avec un coup de pouce, on va construire un réseau qui permette ces gestes-là. » Cédric et Marc en font déjà partie.

Mon avis:

Introduction :

 

J’ai choisis un article dans le journal le Monde. L’article explique que les jeunes d’une banlieue à Grigny ne trouvent pas de travail, job étudiant ou encore un stage, pour cause ils habiteraient soit disant trop loin ou encore il n’engage pas de mineur. Prétexte utilisé pour ne pas les engager.

 

Contexte :

 

Des jeunes d’une banlieue à Grigny voient les portes se fermer quand ils recherchent un travail. Juste avec le nom de leur ville mentionner sur le CV. Ils sont obligés de s’inventer une adresse dans une ville plus bourgeoise ou changer de look pour se faire engager. Et quand par chance ils se font engager sans rien changer ils sont tout de suite catalogués : on leur dit ici on ne vole pas.

 

Problème :

 

Des jeunes cherche du travail est rien qu’avec le nom de la ville d’où ils viennent ils voient les portes se fermer. Et quand par chance ils se font engager ils sont tout de suite catalogués.

 

 

Économique :

 

S’il n’aurait pas temps de discriminations il aurait moins de chômage et moins de délinquances.

 

Ressenti :

 

Ce sont des jeunes comme les autres peu importe le lieu où ils habitent. Le plus important c’est que le jeune sache travailler dans le domaine où il postule.

 

Solution :

 

Malheureusement comme on dit dans l’article s’inventé une adresse dans une ville plus bourgeoise ou encore changer de look pour faire plus sérieux.

 

Constatation :

 

Qu’il est très difficile de se défaire des stéréotypes que les gens se font d’une banlieue. Les jeunes ne savent plus quoi faire sont choqués et certains partent du mauvais côté et finisse dans la délinquance.

 

Conclusion :

 

A cette époque on ne devrait plus faire de différences entre personnes, ce n’est pas parce que l’on vient d’un endroit plus défavorisé qu’on n’est pas capables d’aller travailler et de se lever tôt pour s’y rendre. Ils ne sont pas tous voleur, délinquants c’est justement en les mettent toujours à l’écart qu’ils peuvent finir délinquants.

 

 

 

21 mai 2014

définition du métier d'éducateur spécialisé

Pour moi un éducateur spécialisé c'est:

L'éducateur est un professionnel de la relation et de l'aide aux autres. Il accompagne des bénéficiaires en vue d'atteindre les objectifs précisés par le projet éducatif.

Pour ce faire, l'éducateur doit:

- travailler en équipe;

- respecter des règles déontologiques;

- poser des actes éducatifs et organiser des activités individuelles et de groupe;

- Etre un technicien de l'éducation, un agent d'insertion, un soutien;

- observer et analyser des situations;

- exécuter des tâches annexes: rédaction de rapport, secourisme et hygiène,...;

- viser un processus d'autonomisation de la personne.

21 mai 2014

petite présentation de l'institution

J’ai réalisé mon stage dans une institution pour personnes adultes atteint d’un handicap mental léger et modérer.

Les résidents sont au nombre de 30, ils sont plus ou moins autonome et pratique plusieurs activités tel que le mini foot, la peinture, mini-golf, jardinage, cuisine, bricolage, petit élevage,…

Petite présentation de l’équipe éducative :

Il y a  18 éducateurs dont le chef éducateurs.

Ingrid : Bricolage ;
Marie et Elisabeth : petit élevage
Samantha, Sophie, Sofia et Juliette : Réapprentissage et bien être ;
Séline : danse ;
Agnès : cuisine ;
Luis : jardinage ;
Julien et Guillaume : sport ;
Stéphanie et Hélène : marionnette ;
Nadine et Jean Paul : peinture ;
Cécile : chant
Yves : chef éducateur ;

Mon premier jour était un peu difficile car je ne connaissais personnes et c’était la première fois que je travaillé avec cette population. Les jours suivants je m’intégrer de plus en plus au sein de l’équipe éducative qui d’ailleurs est très sympathique, et mets les stagiaires vraiment à l’aise pour travailler.


Journée type : je commence chaque jour à 8h jusque 16h00.
Dès que j’arrive je prépare le petit déjeuner je surveille les bénéficiaires car ils savent manger seul. Ensuite on se dirige vers une salle, là nous organisons les différents ateliers de la matinée. Vers 9h nous partons en atelier. J’ai participé à chaque atelier. Les bénéficiaires mangent vers 12h. Ensuite on réorganise les différents ateliers de l’après-midi. Vers 15h40 ils prennent un gouter et ensuite vers 16h ils rentrent en car.

6 mai 2014

intro :)

Je réalise ce blog dans le cadre du cours d'éducation aux médias et au Tic.

Je vais vous parlez de mes différents vécus de stage, les questions que je me pose sur le métier d'éducateur.

 

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